BLOOM et les coauteurs des universités de New York (Etats-Unis) et de Dalhousie (Canada) révèlent dans une étude publiée dans la revue scientifique internationale « PLOS ONE » que le label MSC est en fait aux antipodes de sa mission d’origine, la préservation de l’océan.
Le label MSC est devenu une barrière à la pêche durable et cache sa réalité aux consommateurs : alors que la grande pêche industrielle à fort impact représente 83% des volumes certifiés MSC, elle ne représente que 32% de son iconographie. À l’inverse, la petite pêche à faible impact ne représente que 7% des volumes certifiés mais 47% des illustrations. Près de 6,5 fois plus que la réalité !